Les systèmes autoritaires comme la Chine : ‘Une catastrophe du point de vue des investisseurs’

Ce n’est pas suffisant d’exclure les pays autoritaires d’un portefeuille : la plupart de l’exposition d’un portefeuille aux autocraties est indirecte, via des actions cotées dans des pays démocratiques mais ayant elles-mêmes des expositions aux autocraties.

Lisez la dernière contribution d’Yves Choueifaty dans Capital Magazine. Yves, président et fondateur de TOBAM, explique plus en détail le « facteur de risque d’autocratie » et pourquoi une exposition directe – et indirecte – aux régimes autocratiques expose les investisseurs à des risques à long terme non récompensés.