Philosophie d'investissement LBRTY®

Être exposé à des pays autoritaires, c’est prendre un risque qui n’est pas rémunéré.
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Conflits armés durant le 20e siècle

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conflit entre deux démocraties indépendantes au 20e siècle

Source: ChatGPT.

Chez TOBAM, notre seul objectif est d’augmenter le ratio rendement/risque pour nos clients. La prise en compte de l’exposition au risque autoritaire vise à contribuer à cet unique objectif.

Les tensions géopolitiques qui resurgissent dans le monde entier rappellent aux investisseurs l’importance de surveiller l’exposition de leur portefeuille au « facteur de risque autocratie ». À long terme, les investisseurs exposés à des régimes autoritaires subissent les conséquences de l’instabilité, des troubles sociaux, de la corruption et de la guerre.

La démocratie fonctionne, l’autocratie non !

TOBAM et les droits humains

L’aventure de TOBAM a commencé dès 2009, lorsque nous avons choisi les droits humains comme domaine philanthropique.

Après avoir parrainé Amnesty International, TOBAM s’est associé à Human Rights Watch et avec le soutien de TOBAM, Human Rights Watch a ouvert son bureau à Kiev. Ce bureau s’est avéré essentiel pour :

– le suivi des conflits ukrainiens

– la recherche et le plaidoyer auprès des autorités et des activistes locaux.

Retrouvez les dates clés du parcours de TOBAM dans le domaine des droits humains ou accédez à plus d’informations sur l’engagement de TOBAM dans le domaine des droits humains.

Risques d'investissement liés aux pays autoritaires :
4 conclusions principales (...et ce n'est pas fini !)

L’engagement de TOBAM n’est pas d’ordre moral, mais repose sur un raisonnement pragmatique : le soutien aux libertés civiles et à la démocratie fonctionne d’un point de vue économique et s’aligne parfaitement sur les intérêts des clients.

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Les recherches innovantes et approfondies de TOBAM sur l’exposition des portefeuilles aux régimes autoritaires ont permis de tirer quatre conclusions principales:

1. Il existe un facteur de risques que l’on peut appeler ‘autocratie’,

2. Ce facteur de risque est récompensé négativement au fil du temps,

3. La majeure partie de l’exposition d’un portefeuille au ‘facteur de risque autocratie’ est indirecte,

4. Le ‘facteur de risque autocratie’ est indépendant des autres facteurs de risque.

Yves Choueifaty, président et fondateur de TOBAM, explique pourquoi et comment traiter le ‘facteur de risque autocratie’ dans un portefeuille.

Il existe des raisons majeures de s’intéresser au risque d’investissement lié aux régimes autoritaires. C’est pourquoi TOBAM a développé une méthode originale pour l’identifier et le gérer efficacement.